À propos
Quand le graphisme défie le handicap
Plus jeune, Clémence jonglait à ses heures perdues. Maintenant privée de l’usage de ses jambes, d’une partie de ses bras et de ses mains, elle jongle toujours ! Autrement.
Du bout des doigts de sa main gauche, avec les couleurs les formes et la typographie.
Au quotidien, pour dépasser les limites qu’imposent le handicap, il faut sans cesse s’adapter, chercher, essayer, trouver des solutions. C’est ainsi, qu’après avoir été ingénieure, elle a choisi de se former au graphisme avec l’école STUDI, pour obtenir le titre professionnel d’infographiste metteur en page.
Quand on ne peut pas tenir un stylo dans la main, ni utiliser efficacement un clavier d’ordinateur, apprendre à maîtriser les logiciels Indesign, Illustrator et Photoshop, mais aussi le système de gestion de contenu WordPress, relève du défi. Trouver les outils de compensation adaptés n’est pas toujours simple, et pourtant… Une souris manipulable par ce qui reste de mobilité des doigts de la main gauche, un logiciel de reconnaissance vocale, et l’affaire est dans le sac !
Mais ce qui la passionne plus dans le graphisme, c’est être à l’écoute de la demande, analyser, puis chercher la solution graphique adaptée. Parce-que l’adaptation, c’est son rayon ! Son objectif : traduire en design un style, un caractère, des valeurs, un message.
En faisant appel à un prestataire ayant la qualité de travailleur indépendant handicapé, vous pouvez bénéficier d’avantages. On fait le point ici.